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Badoit : Une Saga Pétillante

« Et patati et patata la meilleure eau c’est la Badoit » … « Y a d’la joie »

Badoit : Une Saga Pétillante

Badoit : Une Saga Pétillante

Voilà des slogans qui ont de la bouteille…Et qui n’ont pas pris une ride. Et oui pour les plus de 30 ans ces publicités résonnent encore dans les mémoires et restent des références incontournables pour les étudiants en publicité.

Nous avons choisi pour ce premier zoom « marque » de raconter la fabuleuse histoire de l’eau pétillante de Badoit, parce qu’elle est indiscutablement « l’eau » indissociable de la gastronomie, des bonnes tables et des bons repas. Une eau qui a fait sa réputation sur la promesse d’une digestion légère.

L’eau de Badoit est ancrée dans la mémoire collective et fait en quelque sorte partie de notre patrimoine national. Cette place de choix, sur nos tables et dans notre inconscient, elle se l’est faite depuis 150 ans grâce à ses vertus digestives reconnues mais aussi grâce à ses nombreuses campagnes de publicité.

Il était une fois… l’eau de Saint-Galmier

Tout commence dans le petit village de Saint-Galmier dans la Loire à plus de 153 m de profondeur.
C’est là que l’eau minérale naturelle entame son long périple souterrain à travers un sol granitique qui l’enrichit en gaz carbonique. C’est au cours de ce voyage que l’eau de Badoit acquiert sa « pétillance », sa finesse et ses vertus minérales.
Elle fournit depuis toujours, mais officiellement depuis l’octroi d’un privilège datant de 1897, une eau potable gratuite aux habitants de Saint-Galmier, les Baldomériens.
C’est en 1778 que Richard Marin de Laprade, médecin du Roy Louis XVI, souligne les vertus apéritives, digestives et exhilarantes de Badoit.

L’eau de Saint-Galmier en route pour le succès !

A la fin des années 1830, le succès du thermalisme et de la vente de l’eau de Saint-Galmier dans la région lyonnaise est tel que la commune favorise la création de nouvelles fontaines. Mais pour cela il faut trouver des entrepreneurs. C’est un voyageur en soierie qui deviendra l’homme de la situation. C’est en 1837 qu’Auguste Badoit obtient de Saint-Galmier le « fermage » de la source.


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