Pour le plat principal, choix difficile entre le lieu jaune de ligne et son potage d’été, eau de tomate en bouillon iodé ou la poulette fondante contisée de merguez, snack de pastèque au Sichuan, semoule végétale, fin croustillant aux épices douce. Les cuissons sont précises, les mariages heureux et nous aux anges !

Nous passons sur le fromage qui ne nous a pas totalement régalé (rocher de parmesan aux fruits secs), pas envie ou tout simplement déjà bien calés nous zappons directement sur le dessert et là nous plongeons dans un délicieux tube rhubarbe, cœur tarte au citron biscuit menthe fraîche, le cocktail idéal pour une bonne digestion et un final sur des touches acidulées et rafraichissantes.

Mignardises de déclinaison de chocolat et café pour conclure.

Photos ©L. Le Guyader/ideemag

Côté vins nous nous sommes laissés guider par l’œnologue de la Mare aux Oiseaux qui nous a proposé un ballet de 5 accords (option du menu) entre blanc et rouge (verre de 10 cl à chaque plat).

Pour être tout à fait honnête nous avons partagé ce repas avec d’autres convives, dont un habitué des lieux frustré par l’absence du chef ce soir-là, frustration qui selon lui commence à gagner un certain nombre d’habitués nostalgiques de l’époque où le chef en personne venait les saluer à chaque repas… La rançon du succès !

Par Anne Inquimbert


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