Pour la deuxième année TNS Sofres a réalisé du 4 au 8 février 2011 une enquête sur le comportement des français face aux loisirs de plein air. Cette enquête à été réalisée auprès d’un échantillon de 1000 personnes représentatif de l’ensemble de la population âgée de 18 ans et plus, interrogées en face à face à leur domicile par le réseau des enquêteurs de TNS Sofres.
Avec cette enquête L’Observatoire Campingaz-TNS Sofres des Loisirs de plein air a pu confirmer l’intérêt et le plaisir qu’ont les Français à pratiquer barbecue et pique-nique, des loisirs de plein air synonymes de convivialité, de liberté, de santé et de découverte.
Le Barbecue 3 Français sur 4 l'adorent…
76 % des français déclarent s’adonner avec plaisir au barbecue avec une proportion d’aficionados inchangée, puisque 28% le pratiquent régulièrement.
Pour assouvir leurs envies, ils sont aujourd’hui près de 7 sur 10 à posséder un barbecue. Pour plus d’un tiers d’entre eux, dès les beaux jours, le barbecue est utilisé au moins une fois par semaine et ce, plutôt pour dîner (56%) et pendant le weekend (81%)**.
C’est avant tout en famille (58%) ou entre amis (35%) qu’on le partage. Le barbecue est en effet principalement associé à la convivialité (68% de citations). D’ailleurs, ce sont davantage les familles avec enfants qui s’y adonnent (88%) contre 67% chez ceux n’ayant pas d’enfants.
Le barbecue est aussi synonyme de soleil (61%), de simplicité (41%) - notamment chez les femmes (43% vs 39% des hommes).
Un excellent moyen de mettre les hommes aux fourneaux
Tout d’abord, c’est déjà très majoritairement l’homme qui va acheter le barbecue : dans 50% des cas, c’est lui seul qui décide d’en acheter un, versus moins de 10% pour les femmes !
Dans 80% des cas, il se transforme en bon père de famille, enfile son plus beau tablier et se met aux fourneaux !
seules 28% des femmes ont l’habitude de cuisiner devant un barbecue. Elles préfèrent en effet laisser cette tâche à leur conjoint. 47% d’entre elles la jugent « dangereuse » ou pénible. Elles reconnaissent volontiers que cette activité nécessite un vrai savoir-faire et valorisent ainsi les talents culinaires de leurs hommes.
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